Témoignages de Vénuste Kayimahe, Esther Mujawayo et Beata Umubyeyi Mairesse, rescapées
Témoignages : Vénuste Kayimahe, Esther Mujawayo et Beata Umubyeyi Mairesse – 31/03/2019
Mémorial de la Shoah • 2019
Mémorial de la Shoah • 2019
Témoignages de Vénuste Kayimahe, Esther Mujawayo et Beata Umubyeyi Mairesse, rescapées
Mémorial de la Shoah • 2021
Témoignages
Valens Kabarari • 2019
Valens a 7 ans quand commence le génocide des Tutsis au Rwanda en avril 1994. Il perd pratiquement la totalité des membres de sa famille, mais aussi son village, ses voisins, sa parole, et c’est tout un pan de sa vie qui s’efface dans l’horreur.
Stéphane Valentin • 2020
Témoignage de Révérien Rurangwa, rescapé
Scholastique Mukasonga • 2006
Tout se passe comme si le bien et le mal irrémédiablement inséparables avaient scellé sous ses mille et une collines un pacte d’amitié. Il y a d’un côté les collines ; il y a, de l’autre, le million de crânes qui les jonchent. Mais ce qui prédomine, dans ce récit, c’est le remords des survivants, qui se traduit par les multiples cauchemars de l’auteur.
Mémorial de la Shoah
Séance pédagogique construite autour d’une websérie et d’un questionnaire pédagogique
Révérien Rurangwa • 2006
» Depuis que, le 20 avril 1994, vers 16 heures, je fus découpé à la machette avec quarante-trois personnes de ma famille sur la colline de Mugina, au coeur du Rwanda, je n’ai plus connu la paix. J’avais 15 ans, j’étais heureux. Le ciel était gris mais mon coeur était bleu. Mon existence a soudainement basculé dans une horreur inexprimable dont je ne comprendrai probablement jamais les raisons ici-bas. »
Ester Mujawayo et Souâd Belhaddad • 2019
L’histoire d’Esther, Tutsi, fille de pasteur, sociologue, mariée et mère de trois filles qui vont échapper à la tuerie avec leur mère alors que leur père et tous les autres membres de leur famille seront massacrés.
Annick Kayitesi-Jozan • 2017
« Aucun d’eux ne m’a dit où était maman. J’accepte que jamais maman n’aura de sépulture, et je comprends que jamais je ne serai en paix. Maman savait qu’elle allait mourir. Mais elle ne savait pas qu’elle serait jetée aux charognards. Je me dois d’être sa tombe, aussi longtemps que ses os traîneront quelque part sur ces collines. Vivante, elle m’a portée dans son ventre, elle m’a nourrie de son sein, elle m’a portée sur son dos, elle m’a aimée. Morte, je la porterai, dans mon ventre, sur mon dos. Partout, tout le temps. »
Annick Kayitesi-Jozan • 2004
L’horreur à travers les yeux d’une adolescente de 14 ans dont l’enfance fut heureuse et aisée, avant que ne montent l’oppression, la haine et la terreur.